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Au départ, il y a “Radio Blog”, un petite application très portable qui permet d’ajouter un lecteur de musique sur un site web, comme ceci :

Puis est arrivé Radio blog club . Chaque fois qu’un nouveau Radio Blog est mis en place quelque part sur le web, le morceau est répertorié par Radio blog club et accessible via son moteur de recherche. La légalité du système repose sur le fait que les morceaux ne sont pas (en théorie) téléchargeable et que les personnes qui uploadent les fichiers sont supposés les avoir légalement acquis. C’est bien sûr se voiler la face que de penser que c’est le cas, mais c’est se bander les yeux de ne pas y voir une preuve supplémentaire qu’il est aujourd’hui impossible d’empêcher la libre circulation de la musique sur le net.

Avec Radio blog club, la musique est d’une telle facilité d’accès (rien à installer) que de nouveaux services communautaires vont pouvoir exploser, comme la génération de playlist à partir des conseils des gens qui ont des goûts similaires.

Evidemment se pose le problème de la rémunération des artistes étant donné que ceux-ci ont perdu la bataille de la licence légale – et avec elle tout espoir d’être rémunéré justement pour les oeuvres diffusées sur le net. Il va falloir que certaines stars révisent leur jugement hatif sur ce sujet pour ne pas tuer la profession toute entière !

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La loi DADVSI validée et durcie par le Conseil Constitutionnel (PC INpact)

Vous pensiez que l’assemblée des vieux qui ne comprennent rien à rien avait finalement accouché d’une loi DADVSI qui évitait le pire du pire ? Perdus ! L’assemblée des vieux parmis les vieux a décidé qu’une majeure partie de sa population étaient des délinquants coupables de 3 ans d’emprisonnement, dont la quasi totalité de sa jeunesse.

Donc bienvenue aux logiciels de peer-to-peer anonymes et cryptés, qui vont permettre à tous les pédophiles de service d’échanger leurs vidéos en se servant d’une communauté qui tentera elle de ne pas aller en prison.

Si il vous fallait un argument de plus pour stopper net vos achats de CD/DVD et cie, je crois qu’il est là tout trouver : ils sont devenus fous !

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L’école doit payer des droits pour une chanson (Ouest France), via Tristan .

Attention, bientôt siffloter dans la rue sera puni d’une amende de 160 euros et lors de toute scéance de karaoké le public devra sortir pour ne pas rentrer dans la catégorie “spectacle musical”.

A quand les “micros fixes” dans la rue qui à l’image des radars fixes prendront une photo des contrevenants en leur envoyant l’amende chez eux ?

(image : Flock, de Clubic )

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Pagny, Florent, chanteur populaire et impopulaire : “La licence globale c’est du vol. C’est un peu comme si vous alliez chercher du pain sans payer le boulanger”.

Christ, Jésus, idôle des jeunes : “Tu sais Florent, moi les pains, je les multiplie gratuitement. Alors soit personne ne paye et c’est la mort des boulangers, soit tout le monde paye 6 euros par mois et on sauve la filière.”

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Les éditeurs de musique ne reculent décidément devant rien. Leur nouveau jouet ? Le watermark ou “filigrane numérique”. Le principe est simple : marquer chaque morceau de musique de manière très discrète pour savoir qui l’a acheté, et ainsi pouvoir poursuivre l’acheteur si ce morceau se retrouve diffusé sur les réseaux peer-to-peer.

Le filigrane se distingue des classiques DRM dans le sens où c’est le média qui est directement modifié, en ajoutant de l’information sur une fréquence inaudible par exemple. Lorsqu’il est de bonne qualité, ce filigrane résiste à tout : compression, changement de format, etc …

Il va sans dire que cette méthode est totalement inefficace pour lutter contre le P2P. Elle suppose qu’on sait qui a acheté quel morceau, et il est heureusement encore possible d’acheter un disque sans montrer sa carte d’identité (ouf !). En pratique, tout cela ne fonctionne que pour la musique achetée par internet.

Inefficace, mais aussi stupide et dangereuse. Vous achetez un morceau sur internet, et trois mois plus tard vous prêtez votre disque à un ami qui en garde une copie sur son disque dur. Un mois plus tard il en envoie un morceau à un de ses amis, etc… , et au bout du compte quelqu’un de la chaine diffuse le morceau sur un réseau P2P où le fichier est repéré par la maison de disque. Au final, vous risquez donc d’être traduit en justice pour avoir prêté un CD à un ami.

Acheter de la musique marquée sur les plates formes légales, c’est donc faire la police parmi ses amis. C’est ne jamais prêter ses disques, où alors à des personnes de confiance en leur faisant jurer de brûler tout exemplaire de la musique après l’avoir rendue.

On savait que les plates formes légales de téléchargements étaient des impasses, on sait désormais qu’elles sont l’antichambre du palais de justice.

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Tristant Nitot nous fait part aujourd’hui de deux liens très intéressants sur ce que reçoivent les artistes lorsqu’on achète des copies de leurs oeuvres.

Cela confirme au passage que les artistes font bien la manche sur Internet et que certains calculs étaient incroyables mais vrais.

En résumé, lorsque vous achetez un morceau sur internet, seulement 3 centimes va aux artistes sur un prix total de 99 cts . Lorsque vous achetez un album en magasin, seulement 1.7€ va aux artistes pour un prix de vente de 18 € .

Source de l’image

Choqués ? Rejoignez les forces de l’alliance rebelle pour la licence globale , seule force capable d’assurer aux artistes un revenu décent dans le nouveau monde numérique.

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Après les quatres premiers épisodes (cf ci-dessous) de P2P wars, voici le site internet consacrée à la plus grande bataille que la Galaxie ai connue . Rejoignez les rangs de l’alliance rebelle et écrivez en seulement 2 clics à votre député pour lui signifier qu’il perd une voix si il persiste dans sa fidélité au coté obscur.

épisode I
épisode II
épisode III
épisode IV

Que la force soit avec vous !

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Lorsque vous achetez une chanson à 99 cts sur les sites de téléchargements légaux …

... 64 cts vont à la maison de disque
... 19 cts vont à l’état (TVA)
... 7 cts vont à la SACEM
... 6 cts vont à la gestion du site web

et sur les 7 cts de la SACEM, la part de l’artiste est de 3 cts ( source, Info du Net d’après le magazine Challenge).

Il est vraiment regrettable que des artistes soient capables de défendre un tel système alors que l’on propose une licence globale de 6 euros par mois perçue à 100% par la SACEM. 6 € par mois, c’est l’équivalent de 85 chansons achetées par mois. Qui achète 85 chansons chaque mois ? Aujourd’hui pas grand monde, et demain probablement plus personne …

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Bénabar, Vincent Delerm, Carla Bruni et Raphaël ont offert un drôle de cadeau de noël aux internautes : une tribune dans Libé qui fustige la licence globale.

Mensonges éhontés, approximations douteuses, méconnaissance flagrante du dossier, tout ce charabia est assez désespérant pour ceux qui se battent pour la révolution culturelle de la licence globale. Les artistes cités ci dessus ont commis une grave erreur : Lorsqu’on a la chance d’être relayé par les médias lorsque l’on s’exprime, lorsque l’on est conscient de l’impact que l’on a sur l’opinion, et lorsqu’on parle d’un sujet aussi complexe que l’on ne maîtrise pas forcément, on se renseigne avant.

Le mal est fait, même si Patrick Bloche a eu un droit de réponse dans le Libé d’hier.

Quelques perles :

Carla Bruni : C’est bizarre de ne pas payer quelque chose. Alors, on ne va plus payer le pain ?

Bien sûr qu’on va continuer à payer le pain. Quand je mange du pain, j’empêche quelqu’un d’autre de manger ce pain. La quantité de pain est limitée, c’est pour cela qu’il faut s’organiser – à l’aide de la propriété privée – et que l’on paye pour son pain.

Quand je copie un morceau de musique, je ne prive pas la personne qui me le donne de l’écouter. La quantité de morceau que l’on peut reproduire est quasi illimitée. La propriété, dans ce contexte, n’a pas de sens, et si on laisse les choses faire il y a un risque pour les artistes de se retrouver sans le sou.

La licence globale, ne revient pas à “ne pas payer quelque chose”. Elle revient à le payer différemment. Est ce que la radio paye pour les morceaux qu’elle diffuse ? Non : elle paye une licence globale, et tout le monde est satisfait. Cela peut paraître “bizarre” de payer la musique ainsi, mais ce n’est que “bizarre” et pas du tout démago.

Raphaël : Économiquement, ce n’est pas viable : pouvoir se payer tout David Bowie pour 7 euros, c’est enlever sa valeur à l’oeuvre.

... et pourtant c’est viable ! En prenant sa calculette, on constate que la licence globale conduit à une amélioration très nette de revenus pour les artistes ...

Schématiquement, lorsque vous achetez un album à 20 euros, moins de 1.5€ vont dans la poche des artistes. Donner 7€ par mois aux artistes revient donc à acheter 5 albums par mois ! Ce n’est pas de la magie : les Majors du disque et les distributeurs y perdent au passage. Mais les artistes, le public, et surtout la musique y gagne à tous les coups.

Bénabar : Cela va juste enrichir une poignée d’actionnaires.

C’est tout le contraire. Aujourd’hui, l’argent va du public vers les distributeurs (fnac, virgin), qui le redistribue aux Majors (Vivendi Universal, ...) et aux artistes. Les maîtres du jeu, ce sont la distribution et les Majors.

Demain, avec la licence globale, l’argent ira directement dans la poche des artistes. Autrement dit, producteurs et distributeurs seront les clients des artistes et non plus leurs employeurs. La logique de la maîtrise de la création culturelle est rétablie.

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création de Lucile, de APRIL

épisode I épisode II épisode III épisode IV Dr(m) Tricia McRootkit : Dark Vanneste , vous enchainez les rôles d’une manière époustouflante ! Et dire que tout a commencé par une simple petite phrase … Dark Vanneste : Tout à fait très chère. On m’a repéré lors de ma réplique sur l’homosexualité lors d’un casting à l’académie des étoiles. Dr(m) Tricia McRootkit : Certain ont en effet rapporté que votre prestation était du jamais vu depuis Dark Pétain. Quand à votre participation au film Come back Algérie Francaise ... Dark Vanneste : Le coté obscur m’a beaucoup aidé à trouver ma voie. Dr(m) Tricia McRootkit : Est-t-il le plus puissant ? Dark Vanneste : Oui, car c’est le plus facile, le plus rapide et le meilleur chemin vers l’empire. Dr(m) Tricia McRootkit : Votre actualité, c’est bien sûr P2P wars. Dark Vanneste : Mon rôle dans P2P wars me va comme un gant. Bien sûr, tout le monde n’est pas d’accord avec mon interprétation très liberticide du coté obscur, mais je suis persuadé d’être un pionnier. Un monde dans lequel les artistes surveilleraient et dénonceraient leur public : voilà la solution au peer to peer. L’empereur Villepinne et moi même en sommes persuadés, et nous censurerons la Toile plutôt que de la perdre. Mais vous êtes de notre coté mademoiselle ? Dr(m) Tricia McRootkit : Oui, bie… eeerrrrrggghhhhh …. argrllll …. (...) mais je suis avec vous !! Toute la presse est avec vous ! Dark Vanneste : Tant mieux très chère. Tant mieux. Et que la puissance du coté obscur soit toujours à vos cotés.

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épisode I
épisode II
épisode III

La guerre civile fait rage entre l’Empire galactique et l’Alliance rebelle . Capturée par les troupes de choc de l’Empereur Villepinne menées par le sombre et impitoyable Dark DeVabres , la princesse Free Software dissimule le texte du projet de loi DAVSI de la mort, un verrou culturel invulnérable, dans son droïdéputé Christian Paul avec pour mission de les remettre au Jedi Obi-Wan Dachary qui saura en trouver les failles.

La jeune fermière Christine Boutinwalker prend le droïdéputé sous sa protection . Ensemble ils vont trouver Obi-Wan Dachary qui leur montre les failles du projet de loi de la mort. C’est décidé : alliés, ils sauveront la princesse Free Software.

Au coeur de la bataille, Dark Vanneste tente une dernière fois d’attirer Christine Boutinwalker vers le coté obscur de la Toile.

Dark Vanneste : “Christine, je suis ton père”
Christine Boutinwalker : “Non ! Non ! C’est impossible !”
Dark Vanneste : “Regarde au fond de ton coeur, et tu verra que j’ai raison : tu es anti-IVG, tu es anti-PACS, tu es la réac parmi les réac, tu es ma fille. Rejoins moi, et ensemble, nous vaincrons cette fiote de Villepinne”

Malgré la difficulté, malgré les doutes, c’est une première victoire que célèbre aujourd’hui l’Alliance rebelle . Le projet de loi de la mort a explosé en vol, et un nouvel espoir se lit sur les visages des peuples libres de la Galaxie.

Suite en Janvier. D’ici là, que la Toile et la licence globale soient avec vous !

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épisode I
épisode II

La guerre des clones fait rage.

Maître Yoda , dans un discours enflammé , a dénoncé la duplicité du chancelier Villepinne et de son valet, Dark DeVabres , le seigneur noir du Snep. L’alliance rebelle est née, dernière barrière des peuples libres face aux verrous numériques, à la répression généralisée de la toile.

Profitant de l’effet de surprise, les chevaliers Jedi Christian Paul et Alain Suguenot investissent le Sénat Galactique et obtiennent deux victoires éclatantes . Par leur action courageuse, le coté obscur de la toile est blessé, mais la bête s’éveille peu à peu …

Dark Vanneste , celui qui est plus machine que homme, s’est laissé séduire par le coté obscur. Pourfendeur des libertés , révisionniste confirmé , il a pris les choses en main. La victoire grandiose laisse du coup un goût amer : le coté obscur prépare une nouvelle bataille pour conjurer la précédente . Mais que peuvent les maigres forces de l’alliance rebelle face au nouvel Empire Galactique ?

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Voir l’épisode 1 : la menace fantôme

La fin est proche.

Soutenu par ses alliés du coté obscur, le chancelier Villepinne déclare la guerre aux pirates de la Galaxie. Des émeutes lui avait déjà permis d’instaurer l’état d’urgence, la baisse des revenus de la Fédération du commerce de la musique est une occasion rêvée pour lui de parfaire son emprise sur les peuples libres. Il charge son premier lieutenant Dark DeVabres d’intervenir au Sénat pour dénoncer les traîtrises de l’ordre des chevaliers du consortium qui soutiennent les terroristes / pirates / amateurs de musique. L’ennemi montre alors son arme secrète : le projet de loi DAVSI.

Face à la menace, la courageuse sénatrice Eucd , forte du soutien de plus de 120.000 systèmes stellaires, dénonce publiquement la mainmise du chancelier sur les dernières libertés des peuples de la Galaxie. Mais le jour même du vote, ses efforts sont ruinés par un attentat mortel : Dark DeVabres a inflitré au Sénat des Seigneurs Snep pour manipuler les sénateurs en faveur de la Loi.

Les peuples libres peuvent suivre en direct la déroute de la République Galactique. Mais Dark DeVabres doute encore. Pour prendre de cours ses adversaires, il dépose un amendement instaurant une “réponse graduée” le matin même de l’ouverture des débats. Par chance, l’ordre des Jedis veille et Maître Christian Paul dénonce vigoureusement un texte qui risque d’envoyer d’honnêtes citoyens dans les mines de Kessel. Le coté obscur manipule malheureusement trop de sénateurs pour que cela puisse changer quelque chose : les clones numériques se développent, et la guerre semble désormais inévitable.

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Il n’y a pas très longtemps, dans la lointaine galaxie des députés …

La république s’apprête à vivre des heures sombres. Corrompue jusqu’à la moelle par les Seigneurs Snep, elle se prépare à voter la destruction finale de sa culture et de ses libertés.

Depuis dix années maintenant, la toile s’est répandue et démocratisée dans la Galaxie, apportant la connaissance partout et étanchant la soif d’expression de l’humanité. Protégée par l’ordre des chevaliers du consortium , elle a contribué à faire de la république un monde plus équitable, où presque tout le monde pouvait avoir accès à la magie du Aimepétrois et du Divix.

Évidemment, la mafieuse Fédération du Commerce de la Musique n’y a pas trouvé son compte. Vingt ans que ses sbires, les sinistres Majors, font régner la terreur, l’inculture et la Star Academy sur le monde sonore. Vingt années que, associés aux Seigneurs Snep, elle a le monopole de nos oreilles et les faveurs de nos porte-monnaie. La toile, ce fluide qui coule maintenant à travers chacun de nous, décuple nos facultés et nous permet de proposer des alternatives. Mais le coté obscur de la toile est puissant …

En s’attaquant directement aux peuples libérées par la toile, le coté obscur a néanmoins commis sa première erreur. De procès en amende, les Seigneurs Snep ont perdus leur première bataille sur la planète P2P. La toile et la culture continuait de s’étendre à leur dépend. Leur réthorique a néanmoins fait des dégâts : assimilés à des “pirates de la Galaxie”, à des “terroristes de la toile”, les vaillants citoyens se sont rassemblés et ont reçu le soutien de nombreux chevaliers du consortium .

Le chancelier Villepinne, miné par son ambition, est le point faible de la République, et les Seigneurs Snep le savent. Ce que la Fédération du commerce de la Musique n’ont pas réussi à voler aux citoyens par la force, ils le voleront par la loi. Villepinne et son fidèle lieutenant Dark DeVabres sont à pied d’oeuvre, et rien ne semble pouvoir les arrêter.

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Choqué, et furieux. Voilà le seul état dans lequel on peut être après la lecture des phrases prononcés par les ardents défenseurs de la musique business, les valets soumis aux majors du disques, les baillonneurs de la création que sont la SACEM, le SNEP et la SCPP. Lorsqu’on leur parle logiciels de P2P libres, voici ce qu’ils répondent :

Vous allez changer vos licences auraient déclaré péremptoirement le SNEP et la SCPP.

Et la SACEM aurait ajouté : Vous allez arrêter de publier vos logiciels.
Si cet amendement était voté, la société des auteurs/compositeurs se dit prête à poursuivre les auteurs de logiciels libres continuant de divulguer leur code source . (Source, Silicon.fr )

Ces insultes vis à vis de la communauté open source proférées par des organismes désormais hors de tout contrôle n’ont pas été prononcés en catimi, mais bien au sein d’une commission du ministère de la Culture. Pire, un amendement en est ressorti ! De tels propos sont inadmissibles et montrent que certains sont prêts à censurer la production gratuite et libre de toute une communauté au prétexte que cela ruinerait leur petit business. Ceci constitue une véritable déclaration de guerre contre la libre expression et la libre création.

Avec cet amendement, même ce blog serait illégal puisqu’il a fait la promotion d’un logiciel permettant de télécharger des contenus illicites .

La moindre des choses à faire de la part des organisations citées plus haut serait de présenter leurs excuses. En attendant je me prend à espèrer que pas un seul membre de la communauté n’achète de disques à Noël. En tout cas, pour ma part j’arrête dès à présent de financer ces organisations aux relents salement fascisants.

Merci à Fred pour l’info. On en parle également par ici

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